Pour sa dernière symphonie, Mozart écrit un final aux accents de triomphe et au rythme endiablé.
Écoute ce premier motif de quatre notes aux violons, suivi d’un deuxième en notes répétées, suivi lui-même de gammes descendantes à tout l’orchestre.
Comme dans une fugue, les instruments entrent de façon successive, les lignes mélodiques se suivent et se mélangent.
Cette façon de composer est sans doute un hommage à Johann Sebastian Bach, compositeur méconnu du temps de Mozart, mais qu’un de ses amis lui a fait découvrir.
Ce maillage polyphonique exceptionnel et d’une beauté inouïe clôt brillamment son œuvre symphonique.
Quel génie ce Mozart !